Du Savetier Au Financier

Guide pour bien gérer aujourd'hui son patrimoine et ses affaires

 

Jean de la Fontaine

  Préface Yvon GATTAZ                                               Hubert M. TUBIANA

Illustrations de TIM

     Nouvelle Préface de Jean Pierre Collinet                     Postface Jacques N.BENHAMOU

 

Que nous dirait Jean de La Fontaine s’il promenait son regard perspicace et malicieux sur notre fin de siècle compliquée ?

 

Tout simplement que le cœur des hommes n’a pas changé.

 

Et c’est bien la raison pour laquelle Jean de La Fontaine est en droit de revendiquer sereinement dans la cour de l’économie, le poste de premier conseiller patrimonial et d’affaires du XXIe siècle !

 

 

Comment ?

 

A partir d’une sélection rigoureuse de vingt-six fables richement illustrées par TIM, les auteurs tirent pour chacune d’elles avec pertinence et facétie la <moral> financière de notre époque.

 

Les inévitable textes légaux et chiffrés en vigueur sont astucieusement présentés sous la forme de planches pratiques attrayantes qui sont autant de clin d’œil à la <génération  laser>. Par sa construction originale et ludique, mais non moins très solidement étayé (lexique bien documenté), cet ouvrage s’adresse à tous de 7 à 77 ans.

 

Devenir financier sans perdre le sommeil, n’est plus désormais un rêve de savetier : mais une réalité concrète.

Ils ont dit :

Maurice DRUON de l’Académie Française :

<…Gardons présents, à tout hasard les avertissement de Jean De La Fontaine…

Ah ! Que l’on devrait enseigner LA FONTAINE,  massivement,… comme avant : afin de mettre les gens en état de mieux choisir, plus tard…

 

Etienne WOLF de l’Académie Française (Il occupait le 24e fauteuil, aujourd’hui, c’est MAXGALLO, qu’avait occupé jadis le grand fabuliste) :

            …Mais il connaissait bien les hommes, et chaque fable nous présente… quelque financier ou roturier dont il dénonce les excès ou les défauts…J’ai comme tous mes contemporains participé à la joie de lire, de commenter et de réciter bien des fables dont l’attrait est toujours actuel et sera immortel.

 

            HERGE : En quelques traits… tout était dit : le décor était indiqué, les acteurs et place, la comédie pouvait commencer.

 

FENELON : « Quand donc les hommes égaleront-ils en éloquence ses personnages à quatre pattes » ?

Léon-Paul FARGUE : « Chacune de ses fables est un monde en raccourci ».

GIDE : « L’art de la Fontaine est de dire légèrement une vérité accablante ».

MARQUIS DESABLE : « Il était semblable à ces vases simples et sans ornement qui renferment au-dedans des trésors infinis ».

Charles PERRAULT : « Il n’a jamais dit que ce qu’il pensait, et il n’a jamais fiat que ce qu’il a voulu faire ».

François MAUCROIX : « C’était l’âme la plus sincère et la plus candide que j’aie jamais connue : jamais de déguisement, je ne sais s’il a menti en sa vie ».

ABBE CUREAU DE LA CHAMBRE : « L’académie reconnaît en vous… un génie aisé, facile, plein de délicatesse, et de naïveté, quelque chose d’original et qui, dans sa simplicité apparente et sous un air négligé,  quelque chose d’original et qui, dans sa simplicité apparente et sous un air négligé, renferme de grands trésors et de grandes beautés… »

MADAME DE SEVIGNE : « Faites-vous envoyer promptement les fables de la Fontaine : elles sont divines ».

Jean CHAPELAIN : « Je n’ai trouvé en aucun écrivain de nouvelles… tant de pureté, tant de gaieté, tant de bon choix de matière… ».

Yvon GATTAZ de l’Institut : « …Si La Fontaine fut à la fois rêveur, misanthrope et philosophe, il sut conter avec une fraîcheur exquise et une sagesse incontestée, des histoires d’animaux mais aussi d’hommes confrontés aux problèmes de la gestion de patrimoine, qu’ils soient laboureurs, savetiers ou financiers».

François GIROUD : Je n’aurai jamais eu l’idée d’aller chercher chez LA FONTAINE des conseils de gestion financière ! Mais le livre est très réussi."

Victor HUGO : La fontaine (Source, le livre : Post - Scriptum de ma vie)

Marc FUMAROLI : S’il est un lieu où tout le « siècle d’Auguste » vient se résumer, avec toutes sa lyre et ses couleurs contrastées, c’est bien dans les Fables, où Virgile, Horace, les élégiaques, retrouvent leur voix sous celle de Phèdre et d’Esope, et où Ovide, qui a chanté tant de métamorphoses d’hommes en animaux, revient avec une tout autre séduction alexandrine que chez Benserade ou chez Du Ryer. Lieu d’affleurement de tant de richesses  contradictoires de la tradition poétique française, les Fables s’offrent en outre le luxe de réverbérer dans  toute leur diversité les saveurs de la poésie romaine à son point de suprême maturité. Il y a bien quelque chose de pantagruélique dans l’art de La Fontaine, le plus érudit de notre langue ; mais ce qui se voyait chez Rabelais, ce qui était voyant chez Ronsard, s’évapore chez lui en une essence volatile et lumineuse, où des visions dignes d’Homère apparaissent, et ne se dissipent pas. Le génie d’une langue et celui d’une culture millénaire se concentrent ici en un point où la justesse de la voix et celle du regard suffisent à tout dire d’un mot.

Patrick DANDREY : La Fontaine ou les métamophoses d’Orphée, éd. Découverte Gallimard, 1994.

 
        

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

               LE TABLEAU DE BORD DU SAVETIER AU FINANCIER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Zone de Texte: Fiscalité
 

 

 

 

 

Zone de Texte: Plus-values

Seuil annuel des cessions                
De valeurs mobilières                  20 000 €

Taux d’imposition                             27%
Zone de Texte: Transmissions
Montant exonéré 
D’assurance-vie                     152 500 €(1)


Abattement sur
Les donations                         50 000 € (2)
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Zone de Texte: (1)	par bénéficiaire
(2)	par parent et par enfant
Sources : Fininfo/meilleurtaux.com/Insee